On n'apprend pas grand chose de révolutionnaire au niveau du contenu mais le langage est le reflet d'un Paris qui n'est plus et que l'on peut sentir. Le Paris de Prévert et de Doisneau (qui préface d'ailleurs le livre), celui de la bonne franquette.
Cette lecture n'est pas indispensable, mais elle est intéressante pour ceux qui aiment les "moments de vie" de la capitale.
"Au fil des rencontres, les conversations se déroulaient en langage couramment parlé autour du comptoir. Le sujet importait peu, car aussitôt oublié. [...] Un mot suffisait à Robert Doisneau pour faire surgir une image de lanterne magique qui ressuscitait le passé ou, mieux encore, qui en dessinait une nouvelle sur l'album ouvert des jours à venir."
L'avis de mon double, Hathaway , qui n'a pas du tout aimé!
Cette lecture n'est pas indispensable, mais elle est intéressante pour ceux qui aiment les "moments de vie" de la capitale.
"Au fil des rencontres, les conversations se déroulaient en langage couramment parlé autour du comptoir. Le sujet importait peu, car aussitôt oublié. [...] Un mot suffisait à Robert Doisneau pour faire surgir une image de lanterne magique qui ressuscitait le passé ou, mieux encore, qui en dessinait une nouvelle sur l'album ouvert des jours à venir."
L'avis de mon double, Hathaway , qui n'a pas du tout aimé!
2 commentaires:
Non, décidément, il ne m'attire pas ce livre ! Je connais trop mal Paris pour ressentir vraiment l'ambiance de ses bistrots !
Ce n'est vraiment pas indispensable...
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